Suite à la grève nationale (29/04) et au jour férié (01/05) l'expédition de votre colis peut prendre plus de temps.
La constipation correspond à :
et/ou
et/ou
Elle peut être occasionnelle (voyage, grossesse…) ou chronique (si elle dure depuis au moins 6 à 12 mois).
A l’origine de ce trouble : un ralentissement du « péristaltisme intestinal », les contractions qui permettent d’acheminer progressivement le bol fécal jusqu’à l’anus . Quand ces contractions sont trop lentes, les selles ont tendance à se déshydrater et à durcir, ce qui rend leur évacuation difficile.
Souvent, l’adoption d’une série de bons réflexes permet d’obtenir une amélioration de la situation :
Quand les bons gestes au quotidien ne suffisent pas à régler le problème, le recours à un traitement peut être envisagé.
Parmi les options disponibles :
Comme leur nom l’indique, ces produits agissent en stimulant directement le côlon. Ce dernier va alors se contracter, ce qui facilite l’évacuation des selles.
Leur action est efficace et rapide, mais ils peuvent entraîner une dépendance et des troubles intestinaux sur le long terme. Mieux vaut donc réserver leur utilisation aux épisodes de constipation occasionnelle et pour une courte période.
2. Les laxatifs osmotiques
Tout aussi efficaces, leur effet est néanmoins plus lent à se faire sentir (24h à 72h). Ces laxatifs agissent en attirant l’eau dans le côlon pour ramollir les selles et en favoriser l’évacuation. Ils sont généralement bien tolérés et constituent le traitement de premier choix pour les femmes enceintes ou allaitantes.
Ces laxatifs renferment des substances (mucilages et fibres alimentaires) qui modifient le volume et la consistance des selles, les rendant plus volumineuses et plus molles. Ils ne peuvent pas être utilisés de manière prolongée sans avis médical.
Ils peuvent également aider à régulariser le transit en favorisant la colonisation de la flore intestinale par de « bonnes » bactéries.
Sollicitez l’avis de votre médecin si :